NFP dépasse avec 147 000 emplois, la coupe de juillet n'est plus à l'ordre du jour
Les emplois privés sont faibles, montrant une faiblesse sous-jacente
Les tarifs du 9 juillet sont maintenant le prochain grand déclencheur macroéconomique
Les emplois non agricoles de juin ont été solides à 147 000 contre 110 000 attendus, avec des révisions à la hausse. Le taux de chômage a chuté à 4,1 %, mais près de la moitié des gains proviennent des emplois gouvernementaux. Les emplois privés ont affiché seulement 74 000, le plus bas depuis octobre 2024.
Cela tue à peu près toute chance d'une réduction des taux en juillet. La Fed ne réduit pas dans la force, même si cette force est étroite.
Alors pourquoi les marchés se maintiennent-ils ?
Parce que les données, bien que solides sur le papier, ne crient pas à la surchauffe. Cela donne du temps à la Fed. Et pour les traders d'actions, pas de panique signifie pas de raison immédiate de vendre.
Mais il y a un élément imprévisible qui arrive rapidement : les tarifs du 9 juillet. Si ce récit s'intensifie, cela pourrait défaire ce calme rapidement. Surtout dans un contexte mince, après les vacances.
En bref, les haussiers vivent pour se battre une semaine de plus. Mais le macro n'est pas clair, il est juste calme. Pour l'instant.
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Des données NFP solides écrasent les espoirs de baisse des taux de juillet pour l'instant
Les emplois non agricoles de juin ont été solides à 147 000 contre 110 000 attendus, avec des révisions à la hausse. Le taux de chômage a chuté à 4,1 %, mais près de la moitié des gains proviennent des emplois gouvernementaux. Les emplois privés ont affiché seulement 74 000, le plus bas depuis octobre 2024.
Cela tue à peu près toute chance d'une réduction des taux en juillet. La Fed ne réduit pas dans la force, même si cette force est étroite.
Alors pourquoi les marchés se maintiennent-ils ?
Parce que les données, bien que solides sur le papier, ne crient pas à la surchauffe. Cela donne du temps à la Fed. Et pour les traders d'actions, pas de panique signifie pas de raison immédiate de vendre.
Mais il y a un élément imprévisible qui arrive rapidement : les tarifs du 9 juillet. Si ce récit s'intensifie, cela pourrait défaire ce calme rapidement. Surtout dans un contexte mince, après les vacances.
En bref, les haussiers vivent pour se battre une semaine de plus. Mais le macro n'est pas clair, il est juste calme. Pour l'instant.