Les données de Jinshi, le 2 mars, Maria Le Pen, présidente du parti de droite nationaliste de l'Assemblée nationale de France, s'oppose à ce que la France partage sa force de dissuasion nucléaire pour protéger l'Europe. Le Pen a déclaré aux journalistes: "Ils veulent que ce conflit continue afin de pouvoir reprendre leur autorité en matière de défense. Je ne suis pas d'accord. Je pense que la défense de la France devrait rester la défense de la France, la dissuasion nucléaire de la France devrait rester la dissuasion nucléaire de la France, nous ne devrions pas la partager, encore moins la transférer." Elle a ajouté que les États-Unis restent des alliés et que la question du retrait de la France de l'OTAN ne se pose pas. Auparavant, le président français Macron a déclaré qu'il était prêt à reprendre les discussions sur la force de dissuasion nucléaire européenne.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Le président du Rassemblement national s'oppose à la proposition française de protection nucléaire à l'Europe
Les données de Jinshi, le 2 mars, Maria Le Pen, présidente du parti de droite nationaliste de l'Assemblée nationale de France, s'oppose à ce que la France partage sa force de dissuasion nucléaire pour protéger l'Europe. Le Pen a déclaré aux journalistes: "Ils veulent que ce conflit continue afin de pouvoir reprendre leur autorité en matière de défense. Je ne suis pas d'accord. Je pense que la défense de la France devrait rester la défense de la France, la dissuasion nucléaire de la France devrait rester la dissuasion nucléaire de la France, nous ne devrions pas la partager, encore moins la transférer." Elle a ajouté que les États-Unis restent des alliés et que la question du retrait de la France de l'OTAN ne se pose pas. Auparavant, le président français Macron a déclaré qu'il était prêt à reprendre les discussions sur la force de dissuasion nucléaire européenne.