Le 1er avril, Christophe Boucher, analyste chez ABN AMRO, a déclaré que la BCE ne devrait pas permettre aux faucons de profiter du rebond économique qui vient d’émerger. L’inflation dans la zone euro a de nouveau ralenti en mars, atteignant 2,2 % en glissement annuel, proche de l’objectif de 2 % de la BCE. Les droits de douane pourraient entraîner une flambée de l’inflation, mais l’impact n’est que temporaire. Bien qu’il y ait des signes positifs de croissance économique et du marché du travail, la BCE devra peut-être continuer à réduire les taux d’intérêt pour alléger le fardeau de la politique monétaire sur l’économie de la zone euro. La BCE ne devrait pas y voir une raison pour mettre fin au cycle de baisse des taux, comme l’ont suggéré certains responsables bellicistes. M. Boucher a averti que le ton plus serré de la BCE pourrait affecter la confiance et, en fin de compte, la demande.
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Banque néerlandaise : la Banque centrale européenne doit protéger la reprise économique des influences hawkish.
Le 1er avril, Christophe Boucher, analyste chez ABN AMRO, a déclaré que la BCE ne devrait pas permettre aux faucons de profiter du rebond économique qui vient d’émerger. L’inflation dans la zone euro a de nouveau ralenti en mars, atteignant 2,2 % en glissement annuel, proche de l’objectif de 2 % de la BCE. Les droits de douane pourraient entraîner une flambée de l’inflation, mais l’impact n’est que temporaire. Bien qu’il y ait des signes positifs de croissance économique et du marché du travail, la BCE devra peut-être continuer à réduire les taux d’intérêt pour alléger le fardeau de la politique monétaire sur l’économie de la zone euro. La BCE ne devrait pas y voir une raison pour mettre fin au cycle de baisse des taux, comme l’ont suggéré certains responsables bellicistes. M. Boucher a averti que le ton plus serré de la BCE pourrait affecter la confiance et, en fin de compte, la demande.