La politique américaine connaît à nouveau des remous, l'ancien président Trump ayant récemment fait une série de déclarations remarquables. Il a laissé entendre que s'il était réélu, il utiliserait des méthodes non conventionnelles pour nommer des membres du gouvernement, ce qui pourrait inclure le remplacement du président actuel de la SEC.
Les déclarations faites par Trump sur les réseaux sociaux ont suscité une large attention. Il affirme qu'il a le pouvoir de décider du choix du leader de la majorité au Sénat lors de la prochaine session du Congrès, et exprime le souhait que le futur leader puisse le soutenir dans ses nominations pendant la pause. Cette approche contournerait la procédure traditionnelle de confirmation au Sénat, permettant aux nominés d'assumer rapidement des postes importants sans passer par le processus habituel d'interrogation et d'examen des membres.
La Constitution des États-Unis confère au président le pouvoir de combler les postes vacants pendant les périodes de suspension du Sénat. Cette disposition permet au président de nommer des fonctionnaires par le biais de nominations temporaires, mais ces nominations expirent à la fin de la prochaine session. Trump a souvent exercé ce pouvoir durant son premier mandat, nommant certaines personnes qui pourraient avoir du mal à obtenir l'approbation du Sénat. Cependant, il convient de noter que ces nominations en période de suspension sont essentiellement temporaires et ne peuvent pas remplacer complètement le processus d'approbation formel du Sénat.
Concernant la question du maintien ou du départ de l'actuel président de la SEC, Trump a publiquement promis pendant sa campagne qu'il mettrait fin à ses fonctions dès son premier jour en tant que président s'il reprenait la Maison Blanche. Cependant, des experts juridiques ont souligné qu'en l'absence de raison valable, le président n'a pas le pouvoir de révoquer unilatéralement la nomination du président de la SEC. En général, lorsque la Maison Blanche change de mains, certains responsables des agences de réglementation choisissent de démissionner volontairement, mais il n'y a pour l'instant aucun signe indiquant que l'actuel président a cette intention.
Cette série de déclarations et de plans de changements potentiels au sein du personnel a suscité des discussions publiques sur l'indépendance des agences gouvernementales américaines et la continuité de la réglementation. À l'approche des élections de 2024, les observateurs politiques suivront de près les développements au sein du camp Trump, ainsi que les impacts potentiels de ces plans sur les marchés financiers et l'environnement réglementaire.
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LiquidatorFlash
· 07-09 14:59
Le risque de réglementation augmente à nouveau, la volatilité devrait exploser de 95,73 %.
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just_another_fish
· 07-09 06:36
Fou fou fou
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WalletDivorcer
· 07-06 16:07
Le président de la SEC peut-il encore agir ? bull
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SnapshotBot
· 07-06 16:05
C'est la vieille règle.
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PumpDetector
· 07-06 16:01
des baleines jouant aux échecs 4D pendant que le détail panique... classique psyops de marché
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NeverPresent
· 07-06 15:51
Pourquoi Trump s'occupe-t-il de tout ?
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GasFeeLady
· 07-06 15:51
haussier sur l'arbitrage réglementaire rn ngl... smth semble être la fenêtre d'entrée optimale
Trump suggère qu'il pourrait remplacer le président de la SEC après son élection, suscitant des inquiétudes sur la continuité de la réglementation.
La politique américaine connaît à nouveau des remous, l'ancien président Trump ayant récemment fait une série de déclarations remarquables. Il a laissé entendre que s'il était réélu, il utiliserait des méthodes non conventionnelles pour nommer des membres du gouvernement, ce qui pourrait inclure le remplacement du président actuel de la SEC.
Les déclarations faites par Trump sur les réseaux sociaux ont suscité une large attention. Il affirme qu'il a le pouvoir de décider du choix du leader de la majorité au Sénat lors de la prochaine session du Congrès, et exprime le souhait que le futur leader puisse le soutenir dans ses nominations pendant la pause. Cette approche contournerait la procédure traditionnelle de confirmation au Sénat, permettant aux nominés d'assumer rapidement des postes importants sans passer par le processus habituel d'interrogation et d'examen des membres.
La Constitution des États-Unis confère au président le pouvoir de combler les postes vacants pendant les périodes de suspension du Sénat. Cette disposition permet au président de nommer des fonctionnaires par le biais de nominations temporaires, mais ces nominations expirent à la fin de la prochaine session. Trump a souvent exercé ce pouvoir durant son premier mandat, nommant certaines personnes qui pourraient avoir du mal à obtenir l'approbation du Sénat. Cependant, il convient de noter que ces nominations en période de suspension sont essentiellement temporaires et ne peuvent pas remplacer complètement le processus d'approbation formel du Sénat.
Concernant la question du maintien ou du départ de l'actuel président de la SEC, Trump a publiquement promis pendant sa campagne qu'il mettrait fin à ses fonctions dès son premier jour en tant que président s'il reprenait la Maison Blanche. Cependant, des experts juridiques ont souligné qu'en l'absence de raison valable, le président n'a pas le pouvoir de révoquer unilatéralement la nomination du président de la SEC. En général, lorsque la Maison Blanche change de mains, certains responsables des agences de réglementation choisissent de démissionner volontairement, mais il n'y a pour l'instant aucun signe indiquant que l'actuel président a cette intention.
Cette série de déclarations et de plans de changements potentiels au sein du personnel a suscité des discussions publiques sur l'indépendance des agences gouvernementales américaines et la continuité de la réglementation. À l'approche des élections de 2024, les observateurs politiques suivront de près les développements au sein du camp Trump, ainsi que les impacts potentiels de ces plans sur les marchés financiers et l'environnement réglementaire.